Pour démarrer le challenge Paris je t'aime de L'Ogresse de Paris, je vais répondre à son questionnaire parisien façon portrait chinois.
Si j'étais un monument de Paris, je serais...
La cathédrale Notre-Dame pour son côté majestueux, et aussi pour l'Histoire et l'Art. Le site de Notre-Dame de Paris.
Si j'étais une photo de Paris, je serais...
La Tour Eiffel de nuit (illuminée) parce qu'elle est toujours là comme un phare. Le site de la Tour Eiffel.
Si j'étais une chanson sur Paris, je serais...
Une chanson de Joe Dassin : La complainte des heures de pointe (dans Paris à vélo) pour la nostalgie et l'humour.
Si j'étais un livre dont l'histoire se déroule à Paris, je serais...
Les mystères de Paris d'Eugène Sue. Mais j'aurais pu choisir un roman de Victor Hugo : Les Misérables et Notre-Dame-de-Paris.
Si j'étais un tableau dont le décor est Paris, je serais...
Notre-Dame en hiver d'une peintre russe (qui vit aux États-Unis) que je viens de découvrir : Liudmila Kondakova (cliquez sur l'image). Ses œuvres sur Progressive Art Media.
Si j'étais une rue de Paris, je serais...
Pas facile parce que je ne les connais pas toutes mais la Rue du Chat-qui-Pêche me plaît bien. C'est la rue la plus étroite de Paris (1,80 m de large) et elle a été ouverte en 1540. La romancière hongroise Jolán Földes, qui a habité cette rue dans les années 30, a donné son nom à un roman qui raconte le quotidien d'une famille hongroise pauvre dans le Paris de l'entre-deux-guerres (A halászó macska utcája). Au fait, cette rue est dans le 5e arrondissement près de la Sorbonne.
Si j'étais un musée de Paris...
Évidemment il y a le célèbre Louvre mais je choisis plutôt le Musée Guimet car c'est le musée des Arts asiatiques (même si je n'ai visité que celui de Lyon). Le site du Musée Guimet.
Si j'étais un film tourné à Paris, je serais...
S'il faut n'en choisir qu'un seul, va pour La traversée de Paris de Claude Autant-Lara (1956, avec Jean Gabin, Bourvil et Louis de Funès) mais j'aurais pu citer La grande vadrouille (1966, avec Bourvil et Louis de Funès) et Le cerveau (1969, avec Bourvil et Jean-Paul Belmondo) de Gérard Oury ainsi que les Fantomas (1964, 1965, 1967, avec Louis de Funès et Jean Marais) d'André Hunnebelle. Pourquoi ces « vieux » films ? Parce que je peux les revoir avec toujours autant de plaisir depuis l'enfance.