« On ne doit jamais manquer de répéter à tout le monde les belles choses qu'on a lues » Sei Shônagon in « Notes de Chevet ». Lues, mais aussi aimées, vues, entendues, etc.
Cela fait déjà un bon mois que j'ai noté le lien vers le Safari littéraire créé par Tiphanya du blog Histoire de lectures... Le logo, très joli, a évidemment attiré mon attention.
Encore un challenge/défi, me direz-vous !
Mais il n'est pas du tout contraignant puisqu'il ne faut lire que deux livres en 2010 : un écrit par un auteur africain et un écrit par un auteur non-africain mais sur l'Afrique.
Sont autorisés les auteurs de l'Afrique subsaharienne, soit l'Afrique noire, et tout genre de documents : romans, nouvelles, biographies, essais, bandes dessinées.
Premier tour
Mon auteur africain sera le Sud-Africain Kgebetli Moele avec Chambre 207, son premier roman.
Mon auteur non-africain sera le Français Gilles Lorillard avec L'ombre du diable, un thriller qui se déroule en Tanzanie.
Deuxième tour !
Mon auteur africain est encore un Sud-Africain, Niq Mhlongo avec After tears, son deuxième roman.
Mon auteur non africain est une romancière anglo-australienne dont le roman se déroule en Tanzanie en 1968, Les amants de la terre sauvage, de Katherine Scholes.
Comme vous le voyez, je suis abonnée aux auteurs sud-africains et à la Tanzanie mais je vous assure que je n'ai pas fait exprès !
Je me suis rendue compte que j'avais sans le vouloir fait un troisième tour !
Mon auteur africain est Marguerite Abouet avec Aya de Yopougon (Côte d'Ivoire).
Mon auteur non-africain est Joseph Kessel avec Le lion (région du Kilimandjaro).
Précédentes lectures africaines
Afrique du Sud : Zulu, de Caryl Férey.
Botswana/Zimbabwe : 1 cobra, 2 souliers et beaucoup d'ennuis, d'Alexander McCall Smith, Vague à l'âme au Botswana, d'Alexander McCall Smith.
Éthiopie : Les amants de la mer Rouge, de Sulaiman Addonia (vit en Angleterre), Les belles choses que porte le ciel, de Dinaw Mengestu (vit aux États-Unis).
Mali : L'empreinte du renard, de Moussa Konaté, La malédiction du Lamantin, de Moussa Konaté.