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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 00:32

Le livre du thé est un essai de Kakuzô Okakura paru aux éditions Synchronique en septembre 2013 (167 pages, 12,90 €, ISBN 978-2-917738-16-0). The book of tea (1906) est traduit de l'anglais par Aurélien Clause.

 

Je remercie Héloïse et Synchronique éditions de m'avoir envoyé ce livre après ma lecture de Gilgamesh, de Stephen Mitchell.

 

Kakuzô Okakura (岡倉天心) naquit le 14 février 1862 à Yokohama (Japon). Son père était un samouraï de haut rang. Enfant, il étudia les classiques de la littérature chinoise dans un temple bouddhiste. Il a huit ans lorsque les bateaux du commodore Perry arrivent dans la baie de Tokyo, ouvrant le Japon fermé depuis plus de deux siècles. Il étudia les langues et la culture occidentales dès 1877. Il devint cofondateur de la première Académie des Beaux-Arts à Tokyo et en devint l'administrateur en 1890 avant de créer l'Institut des Beaux-Arts du Japon en 1998. En 1904, il se rendit aux États-Unis et fut nommé conservateur du Département des Arts chinois et japonais du Musée des Beaux-Arts de Boston. Il défendit le patrimoine culturel et artistique japonais (à cette époque menacé) et écrivit plusieurs livres en anglais pour relier Orient et Occident. Il mourut le 2 septembre 1913.

 

The book of tea est originellement paru en 1906 à Boston (États-Unis), directement en anglais : ce texte était alors « destiné au cercle restreint des érudits du Boston du début du XXe siècle » mais « a touché en vagues concentriques un public toujours plus vaste » (préface de l'éditeur, page 7) et il permet, depuis plus d'un siècle, de découvrir l'art du thé et la culture japonaise. Ce livre, précédemment publié aux éditions Philippe Picquier (en 1996 et 2006), est réédité ici dans une nouvelle traduction à l'occasion du centième anniversaire de la mort de Kakuzô Okakura.

 

Si j'ai été surprise par le petit format du livre quand je l'ai reçu, j'ai vite été séduite par ce très joli livre-carnet qu'il est possible d'emmener partout et par l'élastique vert qui symbolise le thé vert et peut servir de marque-page.

Quant au contenu, il est tout bonnement une mine pour qui aime le thé et/ou le Japon !

Okakura écrit avec délicatesse et raffinement cette fameuse Voie du thé, cha-no-yu, issue du rituel zen, qui « consiste simplement à ramasser du bois, à faire bouillir de l'eau et à boire du thé, rien de plus » selon le grand maître de thé Sen no Rikyû (page 8).

Je vous rassure, je ne vais pas ramasser de bois et je ne fais pas bouillir l'eau pour préparer mes thés verts, qu'ils soient japonais, coréens ou chinois !

 

Vous apprendrez donc que le thé fut une médecine avant d'être une philosophie, un art et une boisson, qu'il a suivi une évolution et qu'il y a plusieurs courants et écoles de thé, reliés au Zen (Japon) et au Tao (Chine, d'où le thé est originaire), qu'il existe des classiques du thé comme le Tcha-king (en 3 volumes !) du poète Lou Yu qui a formulé le Code du thé ainsi que des Chambres de thé, suki-ya, et des maîtres du thé.

Qu'est-ce que le thé, comment le cultive-t-on et le récolte-t-on, commet sélectionne-t-on les feuilles, quels ustensiles utilise-t-on (Lou Yu en décrit vingt-quatre !) pour sa préparation et comment le prépare-t-on ? Si vous souhaitez connaître la réponse à une ou plusieurs de ces questions fondamentales, ce livre est fait pour vous !

Et Okakura parle aussi de spiritualité, d'histoire, d'architecture, d'art, de contes, et même de fleurs et de danse !, ce qui montre bien que le thé, c'est bien plus que du thé !

De plus, cet essai est abondamment illustré avec des estampes du célèbre Katsushika Hokusai (1760-1849), de pures merveilles.

 

J'ai noté quelques beaux extraits pour les partager avec vous.

 

Sur le taoïsme

« La vigueur d'une idée ne réside pas moins dans son aptitude à s'imposer dans la pensée de son temps que dans sa capacité à dominer les mouvements ultérieurs. » (page 60).

« Pour le taoïste, celui qui se rend maître de l'art de la vie est l'Homme Véritable. » (page 67) et un peu plus loin, « Pour lui [le taoïste], les trois joyaux de la vie sont la Compassion, la Simplicité et la Modestie » (page 68).

 

Sur le zen

« Le zen, comme le taoïsme, est le culte du Relatif. Un maître le définit comme l'art de discerner l'étoile polaire dans l'hémisphère sud. La vérité ne peut être atteinte que par la compréhension des contraires. […] Rien n'est réel, si ce n'est ce qui touche au fonctionnement de notre esprit. » (page 70) et cette histoire :

« Houei-neng, le sixième patriarche, vit un jour deux moines qui observaient le drapeau d'une pagode flotter au vent.

L'un déclara :

– C'est le vent qui bouge.

L'autre :

– C'est le drapeau qui bouge.

Houei-neng leur expliqua alors que le mouvement réel n'était ni celui du vent ni celui du drapeau mais provenait de leur propre esprit. » (pages 70-71).

J'adore ! Vous savez pourquoi ? Parce que les trois ont raison !

 

Sur l'histoire

« Riche d'anecdotes, d'allégories et d'aphorismes, l'histoire serait sans valeur si elle n'était pas édifiante et divertissante. » (page 61) : clin d'œil à mon ami F., historien et écrivain à ses heures pas perdues.

 

Sur l'art

« […] l'art n'a de valeur que dans la mesure où il nous parle. Il est un langage universel seulement si notre sensibilité l'est également. » (page 118).

Et ce passage superbe : « Artistes qui luttent, âmes lasses tapies dans l'ombre d'un froid dédain ! Quelle inspiration peut leur offrir notre siècle égocentrique ? Le passé peut bien regarder avec pitié la pauvreté de notre civilisation ; le futur rira de la stérilité de notre art. Nous détruisons l'art en détruisant le Beau au cœur de la vie. Si seulement quelque sorcier pouvait, dans le tronc de notre civilisation, sculpter une harpe dont les cordes résonneraient sous les doigts d'un génie ! » (page 123).

 

Mais revenons au thé !

« Grande fut l'ingéniosité des maîtres de thé lorsqu'ils produisirent ces effets de sérénité et de pureté. » (page 85).

« Ainsi, dans la chambre de thé, on suggère la fugacité de l'existence par le toit de chaume, la fragilité par les minces piliers, la légèreté par la structure de bambous et l'insouciance apparente par l'usage de matériaux familiers. L'éternel ne se trouve que dans l'esprit qui, incarné dans la simplicité du décor, l'embellit de la subtile lumière de son raffinement. » (page 94).

 

Le livre du thé est comme un livre-bonheur qui apporte une lecture enrichissante et édifiante et qui, je l'espère, vous amènera à découvrir le thé – si ce n'est déjà fait – et à élever votre esprit, loin du tumulte ambiant. Mais je vous souhaite quand même de passer de belles fêtes, calmes et sereines, et pourquoi pas de rajouter ce petit livre au pied du sapin ?

 

Pour les challenges 1 % de la rentrée littéraire 2013 (essai), L'art dans tous ses états (art du thé et estampes), Beaux livres (malgré sa petite taille !), Des livres et des îles (Japon), Écrivains japonais, Petit Bac 2013 (catégorie Aliment/boisson) et Un classique par mois (première parution en 1906).

 

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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 23:03

Le thé est cultivé en Corée du Sud dans le sud-ouest : du Parc national Jirisan jusqu'à Boseong (en passant par Hwaeomsa, Ssanggyesa et Hadong), plus bas à Daehungsa, et sur l'île de Jeju. Il existe une cérémonie du thé et un enseignement du thé en Corée depuis le 7e siècle puisqu'il a été introduit (de la même façon qu'en Chine et au Japon) par des moines bouddhistes.

 

Jeju-do est une île subtropicale (province) au sud-ouest de la Corée du Sud : elle est située à une centaine de km du continent.

(Cliquez sur la carte).

Sa superficie est d'environ 185 000 ha et sa population d'environ 560 000 habitants.

L'île est née suite à l'éruption du volcan Hallasan (point culminant de l'île à 1 950 m) mais celui-ci est éteint (sa dernière éruption date de 1007) : son site (9 475 ha) est classé au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2007.

Y sont cultivés des fruits, des légumes, des céréales et du thé (dans la partie ouest).

Le site officiel de Jeju, http://jejuwnh.jeju.go.kr/ (en coréen, je me suis contentée de regarder les superbes photos). En français, consultez le site du tourisme en Corée, Visit Korea.

 

 

Les thés de Jeju-do

(j'en bois depuis le printemps 2012)

 

Le Woojeon est récolté avec un bourgeon et une feuille avant le 20 avril. Il a un goût de noisette. (Cliquez sur la photo ci-contre, c'est celui du dessous). En général, il est à 15 € les 100 gr.

 

Le Sejak est récolté avec un bourgeon et deux feuilles entre le 20 avril et le 5 mai. Il est fruité. (Cliquez sur la photo ci-dessous). En général, il est à 10 € les 100 gr.

 

Le Jeoncha est récolté avec un bourgeon et deux feuilles également mais après le 5 mai. Il est herbacé et fruité. (Cliquez sur la photo ci-contre, c'est celui du dessus). En général, il est à 15 € les 100 gr.

 

 

Il existe aussi du Joongjak (récolté en juin) et du Daejak (récolté en juillet) : ces thés sont bien sûr bons mais ils sont considérés comme moins savoureux (ce que je ne peux pas confirmer car je n'en ai jamais bu). Il existe aussi du Garucha, équivalent du Macha japonais.

 

J'ai déjà bu plusieurs thés verts chinois et japonais mais les thés verts coréens furent une découverte pour moi.

Ce sont des thés très agréables à boire, délicats, doux, soyeux, sans amertume, et ils sont moins iodés que les thés verts japonais malgré la présence de l'océan.

Pour les préparer ? 80° et 2 minutes d'infusion, mais vous pouvez les pousser à 2 minutes et demi. J'espère que vous aurez l'occasion d'en boire bientôt.

 

Après avoir écrit mon article, j'ai cherché si d'autres personnes avaient dégusté du thé coréen : ça m'attriste car il n'y en a pratiquement pas (la culture coréenne est si peu connue !) mais j'ai trouvé un très bon article d'une blogueuse (spécialisée dans le thé) qui a goûté du Woojeon à l'été 2012. Vous pouvez le lire sur Leaves and buds. Par contre, je suis surprise par la couleur verte qu'elle a obtenue parce que normalement la « liqueur » est plutôt jaune !

 

D'autres infos sur Korean green tea (site en coréen et en anglais).

 

Un de mes rêves : aller en Corée ! (je précise du Sud). En attendant, je place cet article dans le challenge Printemps coréen.

Et bientôt les photos de la fondue coréenne !

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 12:25

Voici mes 5 sens de mai, toujours d'après une idée d'Enna.

Vous pouvez consulter mes 5 sens

d'octobre, novembre, décembre 2012,

janvier, février, mars et avril 2013.

 

La vue

Ça y est : ciel dégagé, bleu, soleil et douceur (et même chaleur), il était temps !

 

Le toucher

Enfin, j'ai pu remettre des sandales ! J'ai acheté des semelles bien agréables : grâce à elles, les pieds sont protégés des chocs de la marche et restent au frais (par contre, je ne sais pas si ça, ça va durer). Pour une fois, le toucher se fait avec les pieds !

 

L'odorat

Il y a quelques mois, j'ai découvert des thés verts coréens : ils ont une odeur et un goût différents des thés verts chinois et japonais. Je vous en parlerai ce mois-ci pour le challenge Printemps coréen.

 

 

Le goût

Restons dans le monde du thé. Monsieur ne boit jamais de thés aromatisés et puis, tout récemment, je lui ai fait goûter du rooibos orange et, contre toute attente, il a aimé ! Deux à trois minutes d'infusion maximum sinon l'orange se perd au profit du rooibos.

 

L'ouie

Ah... le nouvel album de Depeche Mode !!! Le 13e album, intitulé Delta Machine, avec leur 50e single, intitulé Heaven. Le site officiel de DM et la vidéo de Heaven. Please, enjoy !

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 04:05

CalmesPoster.png

 

Sur KeepCalm-o-matic, vous pouvez créer librement votre poster « Keep calm and... » et des produits (payants) sont automatiquement générés avec votre illustration comme ce mug, ce sticker ou ce sac.

CalmesMug.jpg CalmesSticker.jpg CalmesSac.jpg

Vous aussi, vous voulez un poster et plein de jolis goodies ? Allez sur http://www.keepcalm-o-matic.co.uk/ et faites mumuse !

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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 00:09
Je vous ai parlé du Nouvel An chinois mais j'ai oublié de vous montrer un repas chinois...

2010-02-13-1.JPG En entrée, vous pouvez par exemple présenter une salade de mâche (ici avec une sauce lime) et des nems ou des rouleaux de printemps. C'est joli et ça ouvre bien l'appétit.
2010-02-13-2.JPG En plat, voici des nouilles chinoises avec du poulet sauté, le tout agrémenté de champignons (chinois) et de fleurs de lys (et pas de lotus, je m'étais trompée). C'est délicieux.
2010-02-13-3.JPG En dessert, quelque chose de léger comme du fromage blanc saupoudré de gingembre confit rapé, et accompagné de gâteaux au sésame.
2010-02-13-5.JPG Pour bien finir le repas, un thé s'impose. Dans la gamme chinoise, vous avez le thé vert, le Wulong, le thé rouge (communément appelé thé noir) et le Pu'er. Ici, c'est du Kimen, un thé rouge. Vous pouvez le servir avec des petites douceur (gâteaux de riz et banane, de soja et au sésame).

Et si vous ne savez pas cuisiner chinois, vous pouvez toujours manger dans un bon resto chinois !

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13 mars 2009 5 13 /03 /mars /2009 08:02

Plusieurs participants ont choisi tout comme moi - pour le défi Littérature policière sur les 5 continents - Mma Ramotswe détective, le premier tome d'aventures qui se déroulent au Botswana. J'ai donc modifié mon choix tout en restant dans cette série que je voulais absolument découvrir. Et c'est la couverture, vraiment attirante, (ils sont mignons ces suricates) qui m'a décidée pour celui-ci.

 

1 cobra, 2 souliers et beaucoup d'ennuis, d'Alexander McCall Smith est le 7ème tome des aventures de Mma Ramotswe qui paraît chez 10/18, dans la collection grands détectives (n° 3975, janvier 2007, 255 pages, ISBN 978-2-264-04455-6). C'est Élisabeth Kern qui a traduit de l'anglais « Blue shoes and happiness » (2006).

 

AMcCallSmithAlexander McCall Smith est né le 24 août 1948 en Rhodésie (devenue le Zimbabwe) dans une famille écossaise. C'est pourquoi il étudia le droit à Édimbourg où plus tard il enseigna ainsi qu'au Botswana, pays dans lequel il situe les aventures de Mma Ramotswe. Éclectique, Alexander McCall Smith est non seulement écrivain mais aussi juriste et expert en droit médical et bioéthique, et musicien à ses heures perdues avec le Really Terrible Orchestra qu'il a fondé en 1995. Auteur prolifique, il a d'abord écrit des contes et des livres pour enfants (dès 1984) avant de créer les séries Mma Ramotswe (en 1998), Dr. von Igelfeld (en 2003) qui se déroule à Regensburg (Ratisbonne), Isabel Dalhousie (en 2004) et 44 Scotland Street (en 2005) qui se déroulent à Édimbourg. Plus d'informations sur son site officiel.

 

Mma Precious Ramotswe et son époux J.L.B. Matekoni (un garagiste calme, friand de gâteaux, de football et qui sort de dépression) vivent tranquilles dans leur maison de Zebra Drive avec deux enfants qu'ils ont adoptés à l'orphelinat de leur amie, Mma Potokwane. Il y a une fille, Motholeli, en fauteuil roulant, partie en weekend chez une amie, et un garçon, Puso, imprévisible mais qui s'assagit.

Mma Ramotswe gère l'agence n° 1 des dames détectives qu'elle a fondée il y a quelques années.

Son assistante Mma Grace Makutsi, jeune diplômée de l'Institut du Secrétariat du Botswana (et surnommée en cachette 97 sur 100), s'est trouvé un fiancé à l'Académie de danse et de mouvement où elle suit des cours. Phuti Radiphuti, fils d'un riche homme d'affaires, fermier et propriétaire d'un magasin de meubles, est un bon parti malgré un léger bégaiement.

 

Il fait beau et calme, c'est donc que tout va bien sauf qu'il y a toujours des problèmes... Il y a ceux liés à la Nature (comme la sécheresse ou le serpent dans le bureau) et ceux très courants qui pourraient être évités mais que les gens se créent eux-mêmes (comme une paire de chaussures inadaptée, un vol de nourriture, un chantage, ou la superstition encore présente). « Nous sommes des êtres humains [...] et les êtres humains ne peuvent pas faire autrement. [...] Nous ne pouvons pas nous empêcher de faire des choses qui nous attirent toutes sortes d'ennuis. » (page 10).

 

Par contre, Mma Ramotswe attire vraiment la sympathie. Elle est de « constitution traditionnelle » (c'est-à-dire bien en chair), bienveillante, observatrice, perspicace, pleine de bon sens et elle suit les principes de Clovis Andersen parus dans « Les principes de l'investigation privée » : « N'ouvrez pas la bouche, quoi qu'il arrive, mais en même temps, incitez les autres à faire exactement le contraire. » (page 19). Elle boit aussi des litres de thé rouge (*) car « La plupart des tourments pouvaient être apaisés en buvant du thé et en réfléchissant pendant ce temps. » (page 20).

 

Honnête et peu intéressée par l'argent : « - Combien est-ce que... - Inutile de parler de ça maintenant [...]. Ce n'est pas aussi excessif que vous l'imaginez. En plus, nous faisons payer les gens en fonction de leurs possibilités. Nous ne prenons pas très cher. » (page 163), « Mma Ramotswe ne résout pas de crimes. Elle s'occupe de toutes petites choses. [...] Toutefois ces toutes petites choses sont très importantes pour les gens. » (page 65). Et c'est ce dont vous vous rendrez compte à la lecture de cette série dont je vais d'ailleurs lire les autres tomes tellement elle m'a plu !

 

Les titres de la série

The No.1 ladies' detective agency – Mma Ramotswe détective

Tears of the giraffe – Les larmes de la girafe

Morality for beautiful girls – Vague à l'âme au Botswana

The Kalahari typing school for men – Les mots perdus du Kalahari

The full cupboard of life – La vie comme elle va

In the company of cheerful ladies – En charmante compagnie

Blue shoes and happiness – 1 cobra, 2 souliers et beaucoup d'ennuis

The good husband of Zebra Drive – Le bon mari de Zebra Drive

The miracle at Speedy Motors – Miracle à Speedy Motors

Tea time for the traditionally built (pas encore paru en français)

 

(*) Quelques mots sur le « thé rouge » que boit Mma Ramotswe

Je crois qu'il s'agit du rooibos, qui en fait n'est pas du thé mais l'infusion d'une plante qui pousse en Afrique du Sud et dont le nom signifie 'buisson rougeâtre' en afrikaans. Plus d'informations (en anglais) sur le site officiel du South African Rooibos Council.

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